Alone? I don't know... || LIBRE

22h15, Wendy venait de passer deux heures au telephone avec sa grande soeur, petit rituel qu'elle faisait presque tous les jours. Elle lui avait raconté sa dûre journée de la veille, dans laquelle elle avait perdue son emploi au bar, car elle s'était disputé avec une cliente trop enervante. Sa soeur lui avait conseillé de ne plus y penser et d'aller s'amuser comme elle savait si bien le faire. C'est vrai que Wendy était une vraie fétarde, elle adorait aller danser dans les boites de la ville. Wendy fila donc dans sa salle de bain, pour se préparer. Elle opta pour une petite robe moulante noir, ainsi que des escarpins rouge et un sac Chanel rouge aussi. Elle détacha ses cheveux ondulés, et se maquilla légèrement. A cette heure-ci, les rues de Ministry Lane étaient deserte, alors Wendy n'avait aucunes craintes à se faire. Oui parce qu'après cette histoire de fusillade, Wendy avait un peu peur de sortir la nuit, même si elle n'était pas encore en ville lors du drame, elle en avait beaucoup trop entendu parler.

Arrivée à la discothèque, Wendy salua le videur, qu'elle connaissait bien, et qui connaissait surtout son père, car il avait refait le nez de sa mère un jour, enfin la routine de son métier quoi. C'était l'une des seule personne qu'elle connaissait en ville. Wendy entra et se dirigea vers le bar. Wendy sentait les regards posés sur elle, car la plupart des gens la connaissait de réputation. Wendy avait une certaine reputation car son père était un grand chirurgien, mais surtout sa mère était une grande reporter pour la BBC. Et depuis leur mort, Wendy recevait des tonnes de lettres anonyme, car cette histoire avait été dans l'une des première page d'un journal américain. Bien entendu, c'était beaucoup moin important que ce drame qui s'était produit ici, alors Wendy ne faisait pas attention aux regards.

- Une tequilla sunrise s'il vous plait.

Wendy reçue son verre, et commença à le boire. Sur le comptoir, un journal trainait. Wendy l'attrappa, et l'ouvrit. On parler des elections, et d'autres faits divers. Les yeux de Wendy s'arretèrent sur une pages, où en tout en bas, un article avait pour titre "La mort du couple Carter reste toujours un mystère". Wendy ferma aussitôt le journal, et le reposa à côté. Des larmes commençaient à venir en elle, mais elle tenta de les retenir. Elle était perdue dans ses pensées, lorsqu'elle entendit une voix, qui devait probablement s'adresser à elle. Wendy essuya aussitôt ses larmes et leva la tête...

» Parce qu'on doit bien se mettre quelque chose sur le dos... [Libre]